Sarah a perdu sa mère à l’âge de 5 ans. Chira vient d’une famille si pauvre qu’elle avait le plus souvent un seul repas par jour. Naomie avait une mère déséquilibrée mentalement, incapable de s’occuper d’elle. Le père d’Elisheva battait sa mère, et tous ses enfants. Les parents de Rivka sont morts dans un attentat, elle avait 10 ans …
Offrez leur
un avenir !
« Une maison pour elle » s’efforce d’être le foyer de substitution pour des petites filles qui sont orphelines, ou qui viennent de familles violentes ou dysfonctionnelles, en leur donnant tout ce dont elles ont besoin : nourriture, vêtements, scolarité, encadrement affectif, vacances…
En 1949, le Rav Naftali Rosenfeld a fondé Bayit Lepleitot pour s’occuper de vingt-quatre jeunes filles qui avaient miraculeusement survécu à l’Holocauste mais qui avaient perdu toute leur famille. Survivant lui-même, le Rav Rosenfeld avait perdu sa femme et ses quatre filles. Transformant sa propre douleur en un catalyseur pour répandre la bonté, Rav Rosenfeld et sa femme ont accueilli les jeunes filles terrifiées dans le nouvel orphelinat, consacrant toute leur vie à leur bien-être. Aux côtés du Rav Rosenfeld se tenait son partenaire, le Rav Shlomo Pappenheim, qui sera plus tard rejoint par le Rav Shmuel Yitzchak Stern et le fils du Rav Rosenfeld, le Rav Moshe Yona Rosenfeld.
Après le décès du Rav Rosenfeld, son fils a poursuivi son héritage, accueillant des filles orphelines et défavorisées dans le havre de paix de Bayit Lepleitot. Aujourd’hui, Rav Moshe Yona Rosenfeld et le fils de Rav Stern – Rav Avraham Yeshaya Stern sont à la barre. Se joint à eux le Rav ‘Haïm Elazar, le fils du Rav Moché Yona, et ils dirigent avec dévotion les opérations quotidiennes. Bayit Lepleitot abrite près de quatre cents filles dans trois branches différentes à Yerushalayim, poursuivant ainsi la mission multigénérationnelle : Guérir les cœurs et construire un avenir.
Fondateurs
Directeurs
Quand je me suis marié, j’ai eu un peu peur que ma jeune épouse, vu son enfance, n’arrive pas à construire un foyer stable. Mais je me suis rendu compte qu’Une maison pour elle n’était pas une institution. C’est la famille de ma femme. Une famille aimante, chaleureuse, qui nous a suivi et accompagné dans les premiers pas de notre petite famille.
Trier, détacher, repasser et plier le linge pour plus de 300 filles, c’est un gros travail physique ! Mais c’est un travail d’amour. Je n’oublierai jamais quand une petite fille, qui venait d’arriver à l’orphelinat, s’est jeté dans mes bras et a dit : « Mme Wertheimer, j’aime l’odeur de mes vêtements. Ça sent le jardin ! Merci. » Cette petite fille, la pauvre, n’avait jamais connu le plaisir de porter des vêtements fraichement lavés.
Pendant mon enfance à Bayit Lapletot, le soutien et les encouragements des donateurs du monde entier ont contribué à nous donner la force de nous battre. Grâce à leurs encouragements personnels, je me sentais imprégnée d’un véritable sentiment de fierté.
Je suis un donateur d’une Maison pour elle depuis plusieurs années. J’ai pu, à ce titre, visiter l’orphelinat lors de mon dernier voyage en Israël. Ce fut un moment très fort et très émouvant pour moi. Peut-être le moment le plus beau de toute ma vie. Car j’ai vu comment il était possible de transformer l’enfer en paradis.
Je n’ai jamais eu la sensation de vivre dans un orphelinat. J’ai eu la chance de vivre avec ma famille, ma « maison pour moi ».j’ai vécu dans un endroit magnifique, où j’ai pu grandir comme toutes les petites filles du monde.
Notre institution n’est pas un orphelinat comme les autres. Nous mettons un accent très particulier sur l’amour et l’affection. Chaque enfant reçoit quotidiennement des torrents d’amour de la part de notre équipe, chaleureuse et attentionnée. Venez nous rencontrer dans nos locaux !
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